Elizaveta Arkhipova

Elizaveta Arkhipova is a BA of English- American Studies at Charles University, Prague. She has also studied English- American literature at The University of Winchester, the UK. Elizaveta co-organized various exhibitions primarily in New York, London, and Prague. She had her own exhibition in “Dada Seminar”, Prague dedicated to a social obsession with popularity and currently working on a new one. Presently involved in the promotion of an art direction known as “Alienism”. Edited and published its two magazines (“Alienist magazine” and “The !”), manifestos and booklets. Participant of last year “Prague Microfestival” (2018), involved into a cultural exchange between German and Swiss artists. Currently working on her BA thesis focused on the Beats and the Structuring of Art under their influence. Her interests, as measured by her activities, are: visual art, past experience influence on the younger generations, various social -media “diseases” and so forth.

Elizaveta Arkhipova est diplômée d’une licence d’études anglo-américaines de la Charles University de Prague. Elle a également étudié la littérature anglo-américaine à l’Université de Winchester, au Royaume-Uni. Elizaveta a co-organisé diverses expositions, principalement à New York, Londres et Prague. Elle avait sa propre exposition au « Dada Seminar », à Prague, exposition consacrée à une obsession sociale de la popularité. Elle travaille actuellement sur une nouvelle. Aujourd’hui impliquée dans la promotion d’une agence artistique connue sous le nom d’Alienism, elle a édité ses deux magazines (Alienist magazine et The!), ainsi que des manifestes et des livrets. Elle a participé au festival « Prague Microfestival » (2018), et s’est impliquée dans un échange culturel entre artistes allemands et suisses. Elle travaille actuellement sur son mémoire de licence qui sera axé sur les Beats et leur influence sur la structuration de l’art. Ses centres d’intérêt portent sur les domaines suivants : arts visuels, influence des expériences passées sur les jeunes générations, les diverses « maladies » provoquées par les médias sociaux, etc.